Il faisait très beau.
J'étais sur une île magnifique au large de la vendée.
La veille, on avait reçu une claque. Enfin pas tous. J'avais par procuration ma conscience en paix. Et déjà on se posait des questions sur la nécessité d'aller voter au second tour pour Chirac.
J'en voulais à Jospin d'avoir été trop hors de son camp.
J'en voulais à Taubira d'avoir été en dehors de son camp.
Ce jour-là, on refaisait le monde. On avait su dans l'après-midi du dimanche que les choses tournaient bizarrement. Et pourtant je ne l'avais pas cru.
Plus jamais ça.
Plus jamais ça ? j aimerai en etre aussi sûr
RépondreÀ nous de jouer
RépondreL'histoire se répète toujours, mais sous la forme d'une farce, disait Marx ...
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